Dysharmonie

"Sessad ,public:12 garçons et filles de 6 à 18 ans présentant une souffrance d’origine psychologique, physique ou sensorielle."


Regarde la :
http://autisme.france.free.fr/psychose.htm

Je dirai franchement suit les conseils d'ici car dysharmonie psychotique =autisme dans les classifications internationales et que l'ITEP est laregement deconseillé pour les enfants avec autisme ou TED.

"Il convient de remarquer que d’une façon générale, les ITEP ne sont pas adaptés à l’accueil d’enfants et adolescents autistes ou présentant des troubles psychotiques prédominants, ou des déficiences intellectuelles importantes, qui requièrent d’autres modes d’éducation et de soins, et qui pourraient souffrir de la confrontation avec des jeunes accueillis en ITEP."
Tiré de cette circulaire:
http://dcalin.fr/textoff/itep_2007.html

Bon courage.

nanoou a écrit:

"Sessad ,public:12 garçons et filles de 6 à 18 ans présentant une souffrance d’origine psychologique, physique ou sensorielle."

En France nous continuons à utiliser (nous les professionnels) la notion de "souffrance" pour désigner ce qui relève d'un "handicap".

Quand on relis la phrase comme cela: "SESSAD pour enfants présentant un handicap d'origine psychologique, physique ou sensoriel", cela sonne faux pour le "psychologique."

Car un handicap psychologique n'existe pas et n'a jamais concrètement existé: il est neuropsychologique, c'est à dire que d'après l'Organisation mondiale de la Santé, comme d'après la Fédération Française de Psychiatrie, une dysharmonie psychotique ou un Trouble Envahissant du développement ont des origines venant de plusieurs facteurs (dont génétiques, etc) mais les facteurs psychologiques sont écartés dans toutes les études et publications scientifiques.

On appelait les facteurs psychologiques les origines "psychogènes", litéralement, provoqués par des facteurs psychologiques parentaux ou infantiles.

Beaucoup de psychiatres ou de pédopsychiatres continuent à se représenter les handicaps mentaux de cette façon, d'où cette représentation du hyandicap comme une souffrance au lieu de raisonner en terme de "déficits" et donc de penser en termes de "compensation" par l'éducation adaptée par exemple.

Ils n'ont pas le droit d'imposer leur façon de penser, ni à vous ni votre enfant, car cela n'est plus en accord avec les données actuelles de la médecine.