La maladie de Crohn, Alzheimer ou encore l’arthrose

La cellulite n’est peut-être pas si superflue que ça.

A Toulouse, dans le tout nouvel Institut des cellules-souches adultes et de la régénération (Incere), les équipes veulent en faire un atout dans la thérapie cellulaire.


Les tissus graisseux ainsi utilisés pourraient faire baisser le coût des traitements.


La maladie de Crohn, Alzheimer ou encore l’arthrose pourraient être soignées demain grâce à la thérapie cellulaire, à l’instar de ce qui se fait déjà pour certaines leucémies.

Mais cette fois-ci les cellules-souches utilisées pour restaurer les tissus ou l’organe abîmés seraient issues des tissus adipeux, en d’autres termes de la masse graisseuse source de notre embonpoint.

Une piste innovante au cœur des recherches réalisées au sein du tout nouvel Institut des cellules-souches adultes et de la régénération (Incere), un bâtiment de 3.500 m2 inauguré mercredi sur le site de l’Oncopôle de Toulouse par la région Occitanie et l’Etablissement français du sang.



https://www.20minutes.fr/toulouse/2695859-20200116-toulouse-grace-chercheurs-graisse-va-jouer-role-therapie-cellulaire