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| Sujet: cellules souches , LCR. et développement de l’autisme Mer 23 Jan - 13:24 | |
| http://dupuiselise.canalblog.com/archives/2019/01/21/37036910.html
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1147508/autisme-etude-developpement-rapide-neurones-cellules-souches
CELLULES SOUCHES ET AUTISME
Dernière édition par chantal 83 le Mar 29 Jan - 11:56, édité 2 fois | |
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| Sujet: Re: cellules souches , LCR. et développement de l’autisme Dim 27 Jan - 13:58 | |
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LIQUIDE CEPHALO-RACHIDIEN ( L.C.R.) ET AUTISME:Je reviens sur une étude très intéressante faîte sur les prématuré avec hydrocéphalie acquise qui date de 2011 que j'avais trouvée dans pubmed et qui se rapporte tout à fait à l'article ci-dessus dès la naissance, on peut distinguer des différences dans les protéines du neuro-développement en analysant le liquide céphalo-rachidien de ces prémas: c'est- d'ailleurs pour cela que l'on retrouve plus de diagnostique d'autisme chez les bébés prématurés que chez les bébés nés à terme..... C'est ce que l'on m'avait dit au CRA DE NICE......préma+hydrocéphalie= autisme presque immédiatement
--------ici nous parlons d'un certain type d"e prématurés: ceux ayant une hydrocéphalie post-hémorragique du préma...... TRADUCTION DE PUBMED SUR HYDROCEPHALIE DU PREMA ET PROTEINES DU NEURO-DEVELOPPEMENT:
Altérations des protéines régulatrices du développement neurologique dans le liquide céphalo-rachidien de nourrissons présentant une hydrocéphalie post-hémorragique de la prématurité. https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&tl=fr&u=https%3A%2F%2Fwww.ncbi.nlm.nih.gov%2Fpubmed%2F%3Fterm%3Dmorales%2Bd%253Bm%253B%2Btownsend%2Br%253Br%253B Abstrait Les résultats neurologiques chez les nouveau-nés prématurés présentant une hydrocéphalie post-hémorragique sont parmi les pires de la médecine néonatale. Il n’existe pas encore de consensus sur le diagnostic ou le traitement de l’hydrocéphalie post-hémorragique et les voies pathologiques menant aux séquelles neurologiques indésirables sont mal comprises. Dans la présente étude, nous avons développé une approche innovante pour identifier simultanément les marqueurs de diagnostic potentiels de l’hydrocéphalie post-hémorragique et étudier de nouvelles voies d’incapacité neurologique liée à l’hydrocéphalie post-hémorragique. Le fractionnement multi-affinité en tandem pour l'élimination spécifique des protéines plasmatiques des échantillons de liquide céphalorachidien hémorragique a été combiné à une protéomique quantitative à haute résolution et sans marqueur. L'analyse du liquide céphalo-rachidien provenant de nourrissons atteints d'hydrocéphalie post-hémorragique a montré des différences marquées dans les niveaux de 438 protéines par rapport au liquide céphalo-rachidien des nourrissons témoins du même âge.La protéine précurseur amyloïde, la molécule d’adhésion des cellules neurales-L1, la molécule d’adhésion des cellules neuronales-1, une protéine de brévican et d’autres rôles jouant un rôle important dans le développement neurologique ont montré de profondes augmentations du liquide céphalorachidien de l’hydrocéphalie post-hémorragique par rapport au témoin. L'initiation du traitement neurochirurgical de l'hydrocéphalie post-hémorragique a permis de résoudre ces élévations. Les résultats de cette étude fondamentale démontrent l’importance des possibilités de la protéomique fractionnée multi-affinité tandem dans l’identification et la quantification de médiateurs protéiques du neurodéveloppement et des lésions neurologiques. Plus spécifiquement, nos résultats suggèrent que les niveaux de protéines dans le liquide céphalorachidien, tels que la protéine précurseur de l'amyloïde ou la molécule d'adhérence des cellules neuronales, doivent être étudiés en tant que marqueurs diagnostiques potentiels de l'hydrocéphalie post-hémorragique. Notamment, la dérégulation des niveaux de ces protéines et d’autres protéines peut affecter directement les processus neurodéveloppementaux en cours chez ces nouveau-nés prématurés, offrant ainsi une toute nouvelle hypothèse pour la déficience développementale associée à l’hydrocéphalie post-hémorragique.TRADUCTION DE L'ETUDE COMPLETE: https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&tl=fr&u=https%3A%2F%2Fwww.ncbi.nlm.nih.gov%2Fpubmed%2F%3Fterm%3Dmorales%2Bd%253Bm%253B%2Btownsend%2Br%253Br%253B faut cliquer là-dessus: Article gratuit sur le PMC article original: https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3433889/ faut cliquer là-dessus: Free PMC Article
Dernière édition par chantal 83 le Mar 29 Jan - 12:28, édité 2 fois | |
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| Sujet: Re: cellules souches , LCR. et développement de l’autisme Dim 27 Jan - 14:22 | |
| LIQUIDE CEPHALO-RACHIDIEN ET AUTISME:https://infosante24.com/le-fluide-cerebral-pourrait-il-fournir-un-diagnostic-plus-precoce-de-lautisme/ critique d'un médecin: Selon Beversdorf, il n’est pas clair non plus si cette nouvelle recherche représente une augmentation du liquide céphalorachidien ou une diminution du volume du cerveau, ce qui pourrait laisser l’apparence d’un excès de liquide autour du cerveau. faut juste faire scanner et irm pour faire différence et revoir le périmètre crânien......
Dernière édition par chantal 83 le Mar 29 Jan - 11:59, édité 1 fois | |
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| Sujet: Re: cellules souches , LCR. et développement de l’autisme Dim 27 Jan - 20:19 | |
| LIQUIDE CEPHALO-RACHIDIEN ET AUTISME :
https://health.ucdavis.edu/publish/news/newsroom/11841
date de 2017:
traduction:
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&tl=fr&u=https%3A%2F%2Fhealth.ucdavis.edu%2Fpublish%2Fnews%2Fnewsroom%2F11841
VOIR PAGE 3 :
https://health.ucdavis.edu/mindinstitute/newsroom/newsletter/fotm-summer-2017.pdf
https://www.newswise.com/articles/cerebrospinal-fluid-shows-promise-as-autism-biomarker
https://www.thelancet.com/journals/lanpsy/article/PIIS2215-0366(18)30294-3/fulltext
Dernière édition par chantal 83 le Mar 29 Jan - 12:31, édité 3 fois | |
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| Sujet: Re: cellules souches , LCR. et développement de l’autisme Dim 27 Jan - 21:04 | |
| LIQUIDE CEPHALO-RACHIDIEN ET AUTISME:
https://actualite.housseniawriting.com/sante/autisme/2017/03/07/autisme-le-liquide-cephalo-rachidien-pourrait-etre-un-biomarqueur-prometteur/20908/
https://www.biologicalpsychiatryjournal.com/article/S0006-3223(17)31217-9/fulltext
Dernière édition par chantal 83 le Mar 29 Jan - 12:32, édité 2 fois | |
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| Sujet: Re: cellules souches , LCR. et développement de l’autisme Dim 27 Jan - 21:16 | |
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LIQUIDE CEPHALO-RACHIDIEN ET AUTISME :
https://actualite.housseniawriting.com/sante/autisme/2018/05/03/un-possible-biomarqueur-de-lautisme-dans-le-liquide-cephalo-rachidien/26584/
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| Sujet: Re: cellules souches , LCR. et développement de l’autisme Mar 29 Jan - 12:15 | |
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LIQUIDE CEPHALO-RACHIDIEN ET pourcentage 2 hormones (vasopressine et oxytocine) et autisme:
https://med.stanford.edu/news/all-news/2018/05/scientists-find-possible-autism-biomarker-in-cerebrospinal-fluid.html
traduction:
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&tl=fr&u=https%3A%2F%2Fmed.stanford.edu%2Fnews%2Fall-news%2F2018%2F05%2Fscientists-find-possible-autism-biomarker-in-cerebrospinal-fluid.html
Un article décrivant la recherche, dirigé par des scientifiques de la faculté de médecine de l'Université de Stanford et de l' Université de Californie à Davis , a été publié le 2 mai dans Science Translational Medicine .
"Puisque l'autisme affecte le cerveau, il est vraiment difficile d'accéder à la biologie de la maladie pour savoir ce qui pourrait être modifié", a déclaré Karen Parker , PhD, professeure agrégée de psychiatrie et de sciences du comportement à Stanford et auteur principal de la nouvelle étude. «À l'heure actuelle, le diagnostic repose sur les rapports des parents sur les symptômes de leurs enfants et sur les cliniciens observant les enfants à la clinique.»
L'auteur principal de l'étude est John Capitanio , PhD, professeur de psychologie à UC-Davis.
L'autisme, trouble du développement caractérisé par une altération des capacités sociales, touche 1 enfant sur 68 aux États-Unis. Des recherches ont montré qu'un traitement comportemental précoce et intensif est bénéfique. Pourtant, beaucoup d'enfants ne reçoivent pas un diagnostic opportun. Un test biologique, avec une mesure de laboratoire spécifique indiquant l'autisme, pourrait accélérer le diagnostic.
Condition difficile à étudier La biologie de l'autisme est non seulement difficile à étudier chez l'homme, mais de nombreux animaux de recherche ne sont pas adaptés à la recherche sur l'autisme, a déclaré Parker. Par exemple, les souris ne montrent souvent pas de changement de comportement en réponse aux mutations génétiques responsables de l'autisme chez l'homme.
Les chercheurs ont donc recherché des biomarqueurs de l'autisme chez les singes rhésus, une espèce dont les capacités sociales sont plus proches de celles de l'homme. Les singes avaient été élevés par leurs mères dans des groupes sociaux dans une colonie de recherche sur les primates à UC-Davis. Sur 222 animaux mâles, les scientifiques ont sélectionné 15 à sociabilité naturelle faible et les ont comparés à 15 singes à sociabilité naturelle élevée sur plusieurs paramètres biologiques.
Les scientifiques ont mesuré les niveaux de deux hormones, l'ocytocine et la vasopressine, dans le sang des singes et dans leur liquide céphalo-rachidien, qui baigne le cerveau. Les deux hormones sont des peptides impliqués dans divers rôles sociaux, notamment les soins parentaux et les liens entre partenaires. Certaines études antérieures ont laissé entendre que ces hormones pourraient également être impliquées dans l'autisme.
Les singes du groupe moins social avaient significativement moins de vasopressine dans leur liquide céphalo-rachidien que les singes du groupe plus social. Ces taux de vasopressine ont permis de prédire avec précision la fréquence à laquelle les singes individuels participaient au toilettage social, une activité sociale importante pour les singes rhésus. Les taux de vasopressine dans le sang n'étaient pas différents entre les deux groupes. Dans un deuxième groupe de 10 singes, dont le liquide céphalo-rachidien a été prélevé quatre fois sur une période de quatre mois, les scientifiques ont montré que les taux de vasopressine dans le liquide étaient stables dans le temps.
Les chercheurs ont également comparé les niveaux de vasopressine chez 14 garçons autistes et chez sept enfants non autistes du même âge. (Les niveaux de vasopressine ont été testés dans le liquide céphalo-rachidien des enfants, qui ont été recueillis par ponction lombaire pour des raisons médicales; leurs familles ont accepté de permettre l'utilisation d'un peu de liquide pour la recherche.) Les enfants autistes avaient des taux de vasopressine plus bas que ceux sans autisme, selon l'étude .
«Ce que nous considérons être ce qu’il en est à ce stade est un biomarqueur pour une faible sociabilité», a déclaré Capitanio.
Plus d'essais, recherche nécessaire Les chercheurs souhaitent maintenant tester les niveaux de vasopressine dans un groupe plus large de singes afin de déterminer si les taux d'hormones peuvent distinguer les singes à faibles capacités sociales de ceux ayant un large éventail de capacités sociales. Ils souhaitent également savoir si une faible teneur en vasopressine pourrait être détectée avant que ne se manifestent des symptômes d'altération des capacités sociales.
«Nous ne savons pas si la vasopressine dans le liquide céphalo-rachidien est vraiment très basse avant l'apparition des symptômes comportementaux de l'autisme», a déclaré Parker. "Idéalement, ce serait un marqueur de risque, mais nous ne l'avons pas encore étudié."
Parker est membre du Stanford Child Research Institute , du Stanford Neurosciences Institute et du Stanford Bio-X .
Les autres auteurs de l'étude à Stanford sont Joseph Garner , D.Phil, professeur agrégé de médecine comparée; chercheur scientifique Ozge Oztan, PhD; l'ancien coordinateur de recherche Sean Berquist; Sonia Partap , MD, professeure agrégée de neurologie et de sciences neurologiques; et Antonio Hardan , MD, professeur de psychiatrie et de sciences du comportement.
Des scientifiques de UC-Davis, UC-San Francisco et du groupe médical Sutter Neuroscience à Sacramento ont également contribué à l'étude.
La recherche a été financée par des subventions des instituts nationaux de la santé (subventions R21HD079095, R01HD087048, P51OD011107, R24OD010962 et de la subvention de fonctionnement de base du CNPRC), de la Fondation Simons , du Fonds Mosbacher pour la recherche sur l'autisme, de Stanford Bio-X et de la Weston Havens Foundation. , Institut de recherche sur la santé des enfants de Stanford, le Fonds Katherine D. McCormick et le Fonds commémoratif Yani Calmidis pour la recherche sur l’autisme.
Le département de psychiatrie et des sciences du comportement de Stanford a également soutenu les travaux.
https://www.sciencedaily.com/releases/2018/05/180502174925.htm
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| Sujet: Re: cellules souches , LCR. et développement de l’autisme Mar 29 Jan - 12:39 | |
| liquide céphalo-rachidien et autisme:https://jneurodevdisorders.biomedcentral.com/articles/10.1186/s11689-018-9256-7 TRADUCTION: https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&tl=fr&u=https%3A%2F%2Fjneurodevdisorders.biomedcentral.com%2Farticles%2F10.1186%2Fs11689-018-9256-7 https://media.springernature.com/full/springer-static/image/art%3A10.1186%2Fs11689-018-9256-7/MediaObjects/11689_2018_9256_Fig1_HTML.png ATTENTION : les connaissances sur les différentes hydrocéphalies ont évoluées depuis les années 1980.....par rapports aux livres consultes.... | |
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| Sujet: Re: cellules souches , LCR. et développement de l’autisme | |
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